https://jhm.fr/deux-naissances-enregistrees-a-chaumont/?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTAAAR3vf2UB1hEAvxNKWAtwkmcrHeyHPUU1NM376-HbjmjUUpFpq-VA5QUxtvU_aem_ZmFrZWR1bW15MTZieXRlcw
https://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2023/03/RAPPORT-planification-de-la-pe%CC%81rinatalite%CC%81-.pdf?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTAAAR1ggJaE0R34RXDLKWJ9pVhniWhWm8INjRgTfvMzMfqvvQ_DMIa3ganuyuk_aem_ZmFrZWR1bW15MTZieXRlcw
"Les départements qui seraient les plus impactés par les restructurations seraient ceux dont les maternités desservent les communes des massifs montagneux, difficiles d’accès, à faible densité de population qui, de ce fait, ne peuvent espérer effectuer plus de 1 000 accouchements par an.
C’est le cas des départements de l’Allier, de l’Ardèche, du Cantal, du Puy-de-Dôme, de la Côted’Or, de la Saône-et-Loire, de la Corse-du-Sud (100% à plus d’une heure), de la Haute-Marne,
de l’Orne, de la Corrèze, de la Creuse, de la Dordogne, du Lot-et-Garonne, des PyrénéesAtlantiques, de l’Ariège, de l’Aveyron, du Gers, de la Haute-Garonne, du Lot, de la Lozère, des
Alpes-de-Haute-Provence, des Hautes-Alpes et de la Nièvre qui est tributaire des petites maternités de l’Allier, de la Saône-et-Loire et de la Côte d’Or qui desservent le Morvan. "