Monsieur le Président de la République,
Pour désengorger les services d'urgences d'ici fin 2024, vœu louable tant pour les patients que pour les soignants, encore faudrait-il avoir une capacité de lits suffisante dans les services. Mais également suffisamment d'acteurs extra-hospitaliers, et donc un territoire suffisamment attractif pour les attirer et les retenir dans la durée.
Si nous suivons le projet actuellement promu par la délégation territoriale de l'ARS en Haute-Marne, c'est exactement l'inverse qui se profile.